POSTED IN: Actualités Alloga France on 30 September 2020 by nicolas
La directive européenne organisant la lutte contre les médicaments falsifiés (FMD) est officiellement entrée en vigueur début 2019. Sa mise en application entraîne, notamment pour les hôpitaux, une adaptation de leur système d’information et surtout une augmentation de la charge de travail des équipes en charge du décommissionnement des médicaments soumis à prescription.
Pour les accompagner dans cette nouvelle activité et faciliter la mise en œuvre de la directive, Alloga France acteur leader de la distribution pharmaceutique depuis plus de 60 ans, filiale d’Alliance Healthcare Group France, propose une solution de consolidation qui simplifie la procédure tout en garantissant l’efficacité et la sécurité de l’opération.
Les implications de la mise en œuvre de la directive pour les hôpitaux
En pratique, la vérification des dispositifs de sécurité des médicaments impose notamment que les hôpitaux disposent d’une organisation et d’équipements informatiques permettant de vérifier et de désactiver, dans une base de données nationale, l’identifiant unique de chaque boîte de médicament. La désactivation, ou décommissionnement, de cet identifiant unique soulève un problème majeur d’organisation.
Si les laboratoires pharmaceutiques sont en mesure d’apposer sur chaque boîte de médicament un identifiant unique grâce à un procédé automatique directement intégré dans les lignes de production, la situation est plus complexe du côté des hôpitaux. En effet, ces derniers doivent effectuer une lecture de l’identifiant, boîte par boîte, le plus souvent à l’aide de terminaux portables utilisés manuellement. Cette opération peut très vite devenir chronophage en raison des volumes, souvent considérables, de médicaments réceptionnés – plusieurs dizaines, voire centaines de milliers de boîtes par an de médicaments soumis à prescription.